Maroc et Mauritanie

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INFOS EN PROVENANCE DES VOYAGES.

MAURITANIE : 16/06/2020

Quelques photos de ce week-end. Pour ceux qui ne connaissent pas les tempêtesde sables, la photo est impressionnante mais la situation pas dangereuse.Par contre c’est très désagréable. Il fait chaud, il faut tout fermer etmalgré cela, le sable rentre partout. On en retrouve encore les années suivantesdans le camping-car.Nous intervenons, avec tous les moyens dont nous avons connaissances, afin de lesrapatrier. Il semble y avoir des améliorations coté Maroc, au contraire de la Mauritanie. MAROC :Ca y est tout le monde est rentré. Les accompagnateurs sont sur le sol Français depuisle 9 juin.

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MAROC 27/5/2020

:Premier départ ce soir , si tout va bien, mais le bateau est en approche de Tanger direction Marseille.Les billets du 1er juin sont en attente de confirmation, les derniers retours sont prévu pour le 13 Juin.

MAURITANIE :5 équipages ont pris la route de Nouakchott hier. Les camping-cars doivent rentrer par cargo. Leurs occupants ont unavion pour demain jeudi.Les autres équipages restent en Mauritanie en attendant l’ouverture des frontières avec le Maroc.Le confinement au Maroc étant prolongé jusqu’au 10 juin, l’ouverture risque de ne pas avoir lieuavant début Juillet. Le consul leurs trouvent des occupations : pêche, mer, loto …

MAURITANIE : 13/5/2020

Tout d’abord des nouvelles de MAURITANIE :Pour commencer quelques photos de la sortie au Cap Blanc ainsi que de la pêcheaux fruits de mer.D’autre part hier soir, le loto avec d’autres Français en Mauritanie et le texte de Daniel :« en attendant le déconfinement », hier au consulat de Nouadhibou c’était ambiance avec l’organisation d’un loto pizzaau profit des Bonnes Œuvres de la région. 70 personnes environs se sont partagées les cartons dans une soirée très animée.Notre groupe était présent bien sûre ainsi que les membres de la Guardia Civile Espagnole plus des industriels Français travaillantici. Petits lots mais grands bonheurs les 70 pizzas englouties et comme boisson, héla, pas de vin mais du coca. »

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MAURITANIE : 8/5/2020

Un peu de retard dans la mise à jour des informations en provenance de Mauritanie.La cause à beaucoup de temps passé en début de semaine afin de valider un bateau pourle retour du Maroc. Voir plus bas. Ce week-end, le consul de Nouadhibou a organisé un loto pour les 2 groupes. L’opération devraitêtre renouvelée ce week-end.Autre occupation du week-end, balade en bord de mer et ramassage de fruits de mer. Et oui pas de confinement, juste le couvre-feu le soir. Au repas huitres et coques.Hier avec le minibus de M.A., déplacement au cap blanc, au bout de la presque Ile de Nouadhibou.Si comme moi vous ne connaissiez pas la Mauritanie, c’est l’occasion de perfectionner votre géographieet consulter les cartes.

MAROC :Si tout va pour le mieux, cela n’a pas empêché nos voyageurs de participer à leur manière à la manifestation du 1er Mai.Voir photo ci-jointe.Concernant un éventuel retour. Je dis éventuel car avec tous les retournements de situation, attendons de les voirdans un bateau.Donc lundi matin, 9h appel chez GNV. Il propose un bateau pour le 26 mai direction Barcelone. D’autres bateaux« devraient « partir pour Sète mais rien n’est moins sure. Après une tentative d’achat d’un billet, tout le groupefait de même. Suivant les opérateurs téléphoniques, tout le monde ne paye pas le même prix, mais explication faite,il s’agissait de faire correspondre au mieux le prix du billet déjà payé ( depuis le 20 avril), avec celui dunouveau billet. Certains se sont vu proposer des repas, d’autres une cabine. Les suppléments ne sont pasexcessifs (moins de 10 €). 2 ou 3 équipages ont préféré prendre des billets pour Sète le 1er Juin.Régulièrement, tous les jours on nous annonce de nouveaux bateaux, mais soit ils ne sont pas confirmés, soientils seraient déjà complet à l’ouverture à la vente.Maintenant croisons les doigts pour le 26.

MAURITANIE

samedi 25 avril

Voici les photos promises du campement. Vous en avez déjà une que Claudie a envoyée. Vous avez l’image mais pas le son : les minarets diffusent toujours, parfois en stéréo quand ils sont plusieurs. Cet après-midi, nous (tout le groupe) avons vu le père Pachel qui nous a demandé une participation pour l'eau. Nous avons convenu du prix du bivouac: 5€/jour/CC, comme à l'Alliance française.Il a répondu à nos diverses questions et nous a ensuite montré la bibliothèque, puis une grande salle qui sert d'église le dimanche quand il n'y pas de coronavirus. On peut en disposer l'après-midi. On nous a enfin expliqué en détail à quoi servait la mission; c'est impressionnant. Le consul honoraire a promené quelques représentantes dans sa voiture pour nous montrer les lieux utiles: banque, magasin, change... Les hommes ont fait de même à pied avec Jamel, un des 3 gardiens du site. Hier, on a acheté 50 m de tuyaux pour alimenter le bivouac en complément de notre propre matériel. Les eaux grises et noires finissent dans un gros trou d’un m3 creusé par la mission. Nous voilà donc installés dans la durée. L’après-midi, nous nous sommes promené en car dans la ville de Cansado construite pour les français travaillant pour la société minière avant sa nationalisation. Ce qui nous change beaucoup par rapport à Châmi est que nous allons faire nos courses dans la rue commerçante située à quelques centaines de mètres et surtout les températures. De même, fini les grosses lessives à la main, une dame de la mission pourra nous les faire de même qu’un pressing qui viendra demain chercher notre gros linge : draps, housses de couettes, serviettes…Les parties de pétanque ont recommencé cet après-midi et le couvre-feu est passé à 21 h pour le ramadan. C’est bien parti pour une deuxième période d’attente que les frontières ouvrent. Cordialement.

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Claudine et Guy

mercredi 20h

Ca y est, avec une journée d’avance le groupe a rejoint la mission catholique de NOUADHIBOU.Ils devaient normalement visiter aujourd’hui la mine d’or, je leurs avais demandé un échantillon mais ce sera pour une autre fois. A midi, ils ont reçu les autorisations et l’ordre de rejoindre Nouadhibou. C’est maintenant fait. Les communications par Internet sont difficiles le soir, aussi j’espère avoir plus d’informations demain matin. Néanmoins le moral est bon, la température est nettement plus agréable, tout de même 17° le matin mais du vent.

 

Samedi 19 Avril

MAURITANIE :

Le groupe de 5 a exploré hier samedi, les possibilités de rapatrier le reste de l’équipe sur NOUADHIBOU.Un terrain excentré à 10 km du centre-ville, un terrain de camping mais qui ne pouvait accueillir que 5 camping-cars etfinalement la mission catholique Française.C’est cette dernière que le groupe a choisi après avoir contacter le père PACHEL.L’eau est disponible et la température bien plus agréable vu la proximité de la mer.Le consul de NOUATCHOTT a été contacté et doit leurs faire parvenir des laissez-passer. Guy Martin doit les accompagner.L’arrivée des laissez-passer n’est pas prévu avant le milieu de semaine, mais ils ont maintenant une date en perspective,l’arrivée des grandes chaleurs les inquiétaient.Plus de nouvelles lorsque les laissez-passer seront arrivés et une date de départ fixée.

Vendredi 17 Avril

MAROC :

Déception ce matin, un mail arrivé cette nuit de la compagnie maritime annonce l’annulation du bateau du 20 avril.Aussitôt, branle-bas le combat. Finalement tout le monde pourra prendreun billet pour le 5 mai.Croisons les doigts.

MAURITANIE

:Hier après-midi, un groupe de 5 camping-cars, accompagné par le Consul de Nouakchottainsi qu’un policier de l’ambassade, est parti rejoindre le terrain de l’alliance Française à Nouadhibou.Ils sont arrivés vers 21h30 locale.

 

Mercredi 15 Avril

MAROC :

Bonjour les amis :Les dernières nouvelles du groupe Marocain. Je suis à 100km du groupe. J’ai Bernard et Mireille Perré tous les jours au téléphone. Ils sont un groupe formidable,très bonne entente bien qu’ils ne bougent plus depuis 3 semaines. Je découvre des accompagnateurs formidables qui tiennent bien la troupe.Ils sont bien soutenus par notre président d’honneur Roland .Donc nous prenons le bateau à Tanger le 20 avril pour accoster à Barcelone après 36 h en mer.Ensuite nous rejoindrons notre domicile en camping-car. J’ai toutes les attestations et laissez-passer possibles et imaginables pour roulerau Maroc, en Espagne été n France. Et ça va rouler InchallaDonc nous vous disons à tous au plaisir de vous retrouver bientôt et vive la France et le MarocMarc, l’Arabe du club.

MAURITANIE

Situation mardi matin.Ils sont maintenant 9 équipages à rester à Chami. M.A. laisse le temps aux 5 équipages partant d’obtenir leurs laissez passer.Le gros des médicaments commandés en France par l’importateur n’est pas attendu avant plusieurs jours. Ceux (vitaux) achetés au Maroc pour Gérard et Fabienne avaient été confiés à un camionneur qui a mis plusieurs jours à franchir les frontières et ne s’est pas arrêté à Châmi ; ils sont aux Mali ! Heureusement, ils sont commandés par 3 sources différentes, dont celle de l’importateur. La troisième source, achat en France par la famille et expédition par DHL, arriverait aujourd’hui à Nouakchott et réceptionnés par Sidi. Restera à les acheminer sur Châmi, en les passant par-dessus la barrière ? Pas de nouvelles de la requête au roi qui a été confiée au consul.Nous avons tous regardé le discours de notre président…Notre groupe s’installe plus confortablement grâce à deux grandes chambres climatisées de l’auberge mises à notre disposition par l’auberge, la chaleur et les tempêtes de sable devenant insupportables.En accord avec le groupe des restants, je redeviens l’accompagnateur officieux. Je continuerai à vous informer et à lire vos messages mais je souhaite espacer mes communications afin de vivre un peu ces vacances forcées. Je souhaite bonne chance aux 5 partants.

Guy Bourgeois

LUNDI 30 MARS

MAROC : Week-end sur place : à Taliouine pour le groupe. Avec Marc et Bernard, nous avons pensé qu’il était plus prudent de ne pas les amener sur Tafraoute. Trop de monde. Si tu ne vas pas aux babouches (spécialité de Tafraoute), les babouches viendront à toi. C’est ce qui a été organisé par les accompagnateurs, les marchands de babouche sont venus au camping. Au menu de Dimanche : Poulet frite. ( Mais pas chez Mac Do ? ) Ils ne pourront pas rejoindre Marc à Taroudant, il n’y a plus de place. Devant le bazar organisé (ou désorganisé) à Tanger, tout le monde est d’accord pour dire qu’ils sont mieux ou ils sont.

MAURITANIE : Toujours à Chami. Dernier lieu vivable à 200km de la frontière. La vie s’organise.Sous une grande tente installée au milieu du parking, après-midi jeux de société. Nous essayons toujours de leur faire passer la frontière. C’est coté Marocain que ça coince. Le consul de France à Tanger à été averti lors de son passage au port de Tanger. L’ambassade de France à Rabat a été avertie. On va encore essayer aujourd’hui, mais tous ceux qui avaient des contacts n’ont rien pu faire. Si quelqu’un connait le Roi ?

 

VENDREDI 27 MARS


Partis en Mauritanie il y a un peu plus d’un mois pour un voyage organisé par Mauritanie Aventure, 14 équipages du club de camping-car de l’A3C sont contraints au confinement dans ce grand pays subsaharien. Près d’une trentaine de personnes patiente assistée d'une partie de l’équipe de Mauritanie Aventure.On ne décide pas toujours de son lieu de confinement. Pour les 14 équipages de Mauritanie Aventure qui auraient dû terminer son voyage il y a plus d’une semaine, c’est dans la ville aurifère de Chami, à mi-chemin entre Nouadhibou au sud et Nouakchott, au nord, que les 28 camping-caristes ont été contraints de faire une étape prolongée. Guy Martin, le responsable de l’agence « Mauritanie Aventure » n’a pas choisi la ville champignon de Chami par hasard. "Nous disposons là-bas d’une auberge pour les ouvriers de la région avec un grand terrain et un peu de confort. On a de quoi se ravitailler en eau, nous avons de l’électricité… Nous avons donc organisé la vie du groupe sur ce site pour que tout se passe bien. Notre souci vient du stock de médicaments dont chacun a besoin. Les gens peuvent tenir jusqu’au 15 avril environ. Ici, à Chami, il n’y a pas vraiment de pharmacie. Nous tentons donc de faire acheminer les remèdes indispensables des deux grandes villes mauritaniennes. A part ce problème, la vie se passe sans souci. Nous organisons différentes activités pour occuper les personnes du groupe.">>>Voir aussi : "Le rapatriement des camping-caristes bloqués à Tanger semble s'organiser"
Jean-Marie Perrin, un des membres de ce groupe reste d’ailleurs très serein : "Face à la situation en France et en Espagne, la nôtre n'est pas si mauvaise que ça. Notre camp est situé à côté de magasins. Nous avons l'essentiel, de l’eau, du pain… Mauritanie Aventure a mis deux personnes à notre disposition. Elles sont chargées, pour un prix raisonnable, du gardiennage jour et nuit, de faire les courses et quelques autres tâches. On nous a aussi installé une télévision pour suivre l'évolution de la situation sanitaire en France et dans le monde. Nous ne captons que France 24, mais ça nous permet de nous tenir au courant."

"Pour notre part, nous ne sommes pas trop pressés de rentrer, compte tenue de l'évolution de la pandémie." Précisent M & Mme Perrin qui insistent tout de même sur "le vrai problème pour ceux d’entre nous qui ont besoin de médicaments. Une liste a été fournie aux pharmacies, ambassades, consulats, et même au siège de notre club l’A3C.">>>Voir aussi : La frontière est fermée à Ceuta
Suzanne Bonneau explique tout aussi calmement : "Notre voyage en Mauritanie devait se terminer. Malheureusement, les circonstances et les gros problèmes de santé publique actuels dans le monde font que nous nous trouvons bloqués à Chami. Les frontières mauritaniennes sont fermées. Actuellement, nous aurions dû être au Maroc pour remonter vers la France. Mais la situation n’y est pas meilleure. L’équipe de Mauritanie Aventure ne nous a pas laissé tomber. Tout est mis en œuvre pour que notre séjour forcé se déroule bien. Nous sommes stationnés sur un parking privé et sécurisé avec l'eau et deux employés pour nous aider. Nous avons une télévision et un chapiteau pour nous abriter.
L'ambassade et le consulat en Mauritanie ont été prévenus de notre situation. Notre crainte est de rester bloqués ici encore plusieurs semaines.Ce que nous vivons mal, c'est d'être loin de nos enfants et petits-enfants, même si nous pouvons les contacter, plus ou moins facilement avec internet.">>>Voir aussi : Vivre le confinement en camping-car
Ghislaine Sicateau insiste sur la solidarité qui règne dans le groupe : "C’est très important pour le moral. L’équipe de Mauritanie Aventure fait vraiment tout ce qu’elle peut pour nous soutenir dans cette épreuve. Nous sommes soumis à quelques restrictions d’eau parfois, mais on s’y fait. Notre crainte, c’est que les personnes qui ont besoin de médicaments ne puissent plus les prendre. Nous avions tous pris des réserves jusqu’au 15 avril, mais après, c’est un peu l’inconnu. Le consulat de France est au courant de notre situation. J’espère que les autorités françaises ne nous oublieront pas. »
Le problème lié aux remèdes qui risquent de manquer est récurrent. Daniel Gachignat le précise également. « Lorsque nous sommes arrivés à Chami, la population était un peu réticente à notre égard, mais il n’y a jamais eu d’hostilité. Et aujourd’hui, cela va bien. On comprend les Mauritaniens qui ne veulent pas que le virus se propage. Il y a actuellement très peu de cas de Covid dans le pays (NDLR : 3 cas avérés selon les autorités). Nous sommes donc préservés. Alors aujourd’hui, on prend notre mal en patience. On organise des activités, la température est supportable (28°C), il n’y a pas de moustiques. Nous avons même réglé notre problème d’argent sur place. Ici, il n’y a pas de distributeurs de monnaie et la carte bleu n’est pas acceptée. Nous nous sommes donc arrangés avec notre club (A3C) à qui nous faisons une reconnaissance de dettes et qui réalise des virements à Mauritanie Aventure qui nous distribue la monnaie locale.Bien sûr, nos déplacements sont très limités, Chami étant au carrefour de trois axes très contrôlés par les autorités mauritaniennes. Mais ces contrôles visent à interdire les flux migratoires des pays limitrophes ou le Covid-19 se propage. Et il ne faudrait pas que le virus s’étende dans le pays où les infrastructures hospitalières sont restreintes et seraient très rapidement débordées."

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MAROC : 25 mars 15h IMAGE

Tout va pour le mieux dans le groupe. L’ambiance est très bonne. Ils sont maintenant à Taliouine. La route est controlée, mais aucun problème avec les documents officiels. Ils doivent rejoindre Marc certainement samedi matin. En plus l’organisation s’occupe de commander les repas. Et comme on dit la bas : Inch Allah.

MAROC : 23 mars 18h

Nos voyageurs, je devrais dire maintenant aventuriers, sont maintenant à Ouarzazate avec toutes les autorisations nécessaires. Ils sont conscients d’y être pour plusieurs jours. Nous ne savons pas pour combien de temps, tout comme nous ne le savons pas en France. Il y a encore sur place possibilité de ravitaillement, mais c’est un employé du camping qui s’en charge.

MAURITANIE : 23 mars IMAGE

Il en est de même pour nos aventuriers mauritaniens. Ils restent pour le moment sur le terrain de Chami. Ils se sont trouvés des occupations et parlent de faire des grillages de poisson. Ou peut-être un couscous.

MAURITANIE : SAMEDI 21 mars –

14h Ils sont en route par autocar en direction de Nouadhibiou ( au Nord 2ème grande ville). Au bruit dans le car, l’ambiance est au beau fixe. Au programme, ravitaillement. Parfaitement conscient qu’ils peuvent y être un mois. Ils ont décidés de fixer leur camp de base à Chami. Pas loin de la frontièrede manière à être prêt à la rejoindre si besoin. Leur accompagnateur Mauritanien y a un terrain avec toutes les facilités.

MAROC :

Ils continuent leur périple. Ce soir les gorges de Todra ou Dades.A priori pas de problèmes de circulations s’ils se dirigent vers le nord. Ils ont vérifiés la possibilité des campings pour plusieurs jours. Pas de mouvements prévus avant lundi.

MAROC – 21 mars

Nouvelles du matin. Le groupe part en direction des gorges de Todra.
où ils sont attendus au camping. Le moral est toujours au beau fixe.
La suite pourrait changer. Les grandes villes ne sont
plus au programme. Marc, parti en éclaireur, devrait aller
plus haut en bord de mer, afin de se rapprocher de la frontière.

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MAROC : 20 mars

Nos voyageurs roulent vers Merzouga où nous leurs avons demandé de stationner pour plusieurs jours. C’est d’ailleurs ce qui était prévu à leur planning. Ils sont dans une région loin de toute grande ville et s’éloignent de tout rassemblement. La région n’est même pas accessible par portable ou Internet. Utilisation restreinte du téléphone du camping pour avoir des nouvelles. C’est aussi le camping qui devrait les ravitailler en nourriture. Reste un problème, pas sûr d’avoir suffisamment de Pastis.

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MAURITANIE : 20 mars

N’ayant pas la télé, ils ne sont pas inquiets et l’ambiance est bonne. Lors de notre dernier appel un certain nombre était à la pêche. Ils remontent vers le nord en direction de la frontière Marocaine. Ils devraient être demain à la mission catholique aux environs de Nouadhibou (2ème grande ville de Mauritanie). Ils y étaient prévus jusqu’au dimanche avant de passer la frontière dans la soirée, mais sont prévenus qu’ils risquent d’y rester plus longtemps. Notre objectif, les faire rentrer au Maroc dans un premier temps et les confiner dans un endroit où ils pourraient passer quelques temps. Comme pour le Maroc, téléphone et Internet plus qu’aléatoire.